De chaque film ou de chaque roman, nous ne retenons et restituons que ce qui nous a vraiment marqué ,intéressé ou ému . Partager votre lecture et le sens que vous donnez à mes images donnerait plus de perspective et de richesse et de réalité à mes propos.
24 août 2015
19 août 2015
Fermez le ban
Soudain l'envie de pousser la porte,
de fermer le livre ,vient en moi.
Tous ces articles , ces posts sans lecteur demeureront à tout jamais .
Chacun collecte ses souffrances,
tombe dans l'errance. Adieu...
2006 à 2015...9 ans de réflexion pour de bon!
Pouvoir mordre sa queue inutilement ?
L'être humain que je suis n'en as pas ..
Mais , sur l'anneau de Moebius
c'est ininterrompu...infini , je ne sais...
17 août 2015
Woman in gold
L'implacable et l'inexorable , ne sonnent pas la fin,
survivre réagir modulent fatalement l'avenir
et le temps du retour si lent si difficile qu'il soit
vient logiquement rendre justice .
L'or éclatant du tableau est là , éblouissant de clarté.
Klimt Gustav, je crois profondément à la perfection vivante
du message de vos compositions picturales.
Le scénario de cela dicte tout l'or du monde..
autour de la femme modèle
Ce n'est pas la boite de Pandore c'est le coffre du trésor !
Vienne le temps maintenant ou jamais...
16 août 2015
La force des choses (S.DB )
Il y a une qualité absolue qu'on ne peut atteindre ...
Quelque soit le milieu auquel on appartient ,
il faut inventer sa liberté...ouvrir les verrous pousser les portes..
Le cheminement varié de la vie apporte surprises et désarrois parfois
Ce n'est pas une grande traversée du désert, la découverte n'est pas toujours amère... elle permet de se construire.. de s'évader..
15 août 2015
Les Ombres de la rue de la vie
Elle n'était qu'une fille du port qui poussait sa goualante au coin de la rue
Ce n'était plus un pauvre petit moineau miséreux
c'était une diva du peuple , toute empreinte de sa crasse
L'ombre du malheur d'être femme (femelle) comme disent les malins.
L'impalpable condition qui arrange bien comme ça , on ne voit rien ...circulez y'a rien à voir..
au vingt et unième siècle ça continue...encore et encore..
Cette chanson :une violence insupportable implacable
Le sommet du désert de l'oubli du mépris.
Le ton de toute vérité place l'expression du talent..
Comment savent -ils , savent-elles ? la peur est magnifiée au rayon de l'admiration ...,
ce que l'on redoute enchaine , l'ombre d'un doute
relégué au chapitre du passé n'est pas recevable.
Milord , pourquoi le vivez vous , les pieds sur une chaise ...remuez vous...empêchez tout cela !
parce qu'il m'arrive de fredonner cet air
embué de brouillard malsain , je ferme les yeux.. pour ne plus imaginer ces spectres de la vie.
Ce n'était pas beau , j'en ai froid dans le dos!
mais vous pleurez , alors ,
ça, je ne l'aurais jamais cru .
13 août 2015
Lecture du sens
Les paroles de la chanson sont belles ,
pleines du sens de la vie ..
Leur appropriation développe réflexions et applications
tant de liberté pour créer du bonheur et des rêves en soi,
et pour soi est possible.
Cherches et prends ton bonheur partout
surtout ne te crois pas égoïste
Suis ton coeur qui insiste et persiste
Ce monde sera le vôtre c'est le droit au bonheur.
Cette voix est celle de ton âme même si tu ne sais pas encore ou aller ..
Viens il faut plus qu'espérer, pour recevoir il faut donner.
C'est avec le courage qu'il faudrait payer ...cependant si le bitume de chaque route
demande un long effort il peut être plus léger qu'il n'y parait...
.
11 août 2015
Les choix de la vie ..
Devenue successivement Mary d'Arbanville puis Mary..
Mme Nun..la prof , la conseillère..
je suis encore une fois sur d'autres missions , las bas loin
Bientôt dix ans de Flandres expatriées en Aunis..
de moer est devenu mon terreau.
Les champs et les étiers sont un plat pays qui devient mien..
Si L'adolescence et les études induisent la vie.
Nous nous croyions tous liés , le travail réel entrait en compte
les valeurs elles aussi changeaient...un autre temps prenait place.
Les fondements professionnels devenaient exigeants individuellement...
L'amour naïf s'exposait aux croisées de jambes dévastatrices...
Pourtant Chopin dessinait un autre paragraphe La musique devenait classique aéroportée...!!!
au Philharmonique de Varsovie , tous les drames humains entraient en scène.
Chacun déambule sur son terril sans voir le péril..
mon tour est venu... je déroulais dans le vide noir..
L'Opéra immense souffle ses airs et prend l'air.
une décennie d'envols avec la Lot..
L'atterrissage hors des images dommage !
le dessein d'être, plombe ma destinée alors j'écris..
ce qu'aujourd'hui je suis .
N'y vas pas , loin de nos villes et de nos images,
il est parti comme ses ancêtres ,trouver la terre de Copernic qui ne tourne que dans un sens...
Expériences-graph.music
Mary d'arbre en ville...le retour nocturne du temps des fleurs ...
du temps du bonheur de trouver sa place dans l'heure ...Guido Crepax dessinait Barbarella ,
Anastasia " enrobait la rue du commerce...
avec mes pinceaux, crayons feutres on donnait le ton .
Le Divan Japonais offrait le thé Art Déco
en freinant l'engouement anglais Modern'style ,
gothico-préraphaëlite qui faisait rage sur le campus ..
Dehors , beaucoup parlaient fort de l'ailleurs en guerre..
Sabrah et Shatilah pleuraient , la mode des képhiés ornait le col de chacun.
par connaissance de la Mésopotamie Antique
je fis une image , aujourd'hui disparue ..
le fait fut vite connu malgré ma volonté d'anonymat
les groupes femmes voulaient aussi profiter de mon trait.
Pour retrouver ces moments difficiles . tout est disparu ...
Mais Apocalypse now et l'Amérique du Viet- Nam déferlait en musique sur nous :
" Sugar Magnolia " était sur toutes les lèvres , Jefferson Airplaine passait à la capitale :
un" train " de 2CV et de 4 L nous emmenas au seuil de l'Olympia...
j'offrais un tee shirt à Jerry Garcia"
C'était le début des " concerts"... et l'approvisionnement de 33 à L'Open Market
Platines et amplis entre les jambes nous rentions en France .
Sandales de cuir et robes indiennes dans les bagages ...
Des Beatles jusqu' à Dylan en passant par Donovan et les Kings.
Le plaisir tournait nos têtes sans autre substances toxiques
D'autres musiques ajoutaient leurs pages ; B Ferry , B.Eno etc..
et le dingue anglais David Bowie et les Stones faisaient partie du package .
( beaucoup d'entre eux avaient le même cursus artistique que moi )
Le graphisme revenait ...sur la gamme.
Puis Jo Cocker" the " Best" hurla la violence des sentiments
" you are the beautiful"..
Les épisodes se suivent et se nourrissent ; jusqu'au Constructivisme allemand
" Moderne" en gestation française trouva "l'écoute" de Kraftwerk à Dusseldorf ,
Josko Rudas approuva nos recherches et nos projets graphiques .
Quelques milligrammes d'écoute furent diffusés puis oubliés .Notre Exagone n'était pas prêt..
Mary ne lacha pas les notes de crayon et de couleurs.
Le temps de l'histoire nous éloigna les uns de autres.
Les parfums anglo-saxons se firent communs, et s'effritèrent.
.
09 août 2015
Communications
Notre esprit est large , mais souvent désorganisé...
Nos neurones sont installés en cocon
dans une valse difficile à dénouer.
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