Les feuilles mortes

 se ramassaient à la pelle , tourner les pages des souvenirs
 rien n'y ferais : je n'oublirais pas les beaux jours
 J'ai vu sur la toile l'Azermafia au top des infos...
 c'est trop loin las-bas , ça ne me concerne pas
 il est question d'une autre planète qui n'existe pas
 imaginer le fil sidéral noué sur cette idée ?
est de la space fantaisie  de bande dessinée.

L'envie de dire de te parler

Nos chemins se sont écartés plus rien ne les rapprochera 
mais outre cela je pense toujours à toi comme ça 
tu ne me lis pas que tu ne parles plus jamais de moi ,
depuis hier, la vie semble revenir en moi, je crois
quelques kilomètres  quelques feuilles ramassées
L'idée bien accrochée que je m'en sortirais  
demeure surement mon horizon lointain

Les jours heureux

 Autant qu'il m'en souvienne
 jamais je ne les oublierais
En ce temps la , la vie était si sereine

 Le temps a calmé la détresse et les errements
Chaque jour est un nouveau pas vers celui qui est la.
se crée un temps ou nous sommes aussi un peu amis

 Jamais le flots des idées partagées n'est redonné .

Il y a ce que nous sommes  après des  vies
 si différentes et si peu complémentaires
 Chacun s'emploie au suivi de l'autre 
pour des heures claires sans problèmes.

Voila , le printemps  donne  un rythme nouveau
mais irréversiblement  la gorge se serre parfois..
dans le silence, les yeux fermés... 





 supporter l'évocation des "usages " de conquêtes passées est un désagrément difficile